01/07 - marche plaisir à Sidi-Abed

Marie Françoise Mer 01 Juil 2020, 7:22 am

Les photos sont ici

DEGANS Alain Mer 01 Juil 2020, 7:23 am

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La marche plaisir, c'est pourtant "cool" et ça doit attirer un monde fou... Un peu décevant, cette première d'après confinement : nous ne sommes que sept adeptes à vouloir passer un bon moment sur la plage de Sidi-Abed. Il est vrai que la décision de reprendre ce genre d'activité s'est prise la veille, devant la clinique des Palmiers dans l'attente du départ d'une autre marche, "sportive" celle-là.

Il y a ceux qui ont déclaré ne pas vouloir y participer et il y a ceux qui se font porter pâle suite à une soudaine affection, nous en convenons, gênante pour notre activité... Il y a ceux qui, à l'ombre des cocotiers, se sont dits qu'on ne se déplace pas pour si peu d'autant plus qu'il n'y a aucune activité de prévue quant à l'exercice des mandibules d'après efforts...

Donc, sous le soleil, "évidemment", le départ est donné sous l'oeil quelque peu interrogateur des autochtones qui vaquent à leur occupation et qui ont déjà oublié que le port du masque reste obligatoire...

La plage, un peu déserte en cette période pourtant estivale, nous apporte sa fraîcheur : pas besoin de climatisation, la nature nous offre son rafraîchissement. Zéroual, bien vite, est attiré par l'eau et va y mettre ses pieds, de quoi rendre jaloux Bachir, coincé là bas, dans l'hexagone au travers des fumées nauséabondes de la région parisienne.

Nous nous promenons sur la côte sableuse et atteignons le village des pêcheurs. Malika, Zéroual et Alain s'aventure sur le promontoire rocheux qui cache la vue de l'océan : périple dangereux que Amina, Marie-Françoise, Nicole et Stik évitent en continuant leur chemin vers le retour.

Une brave dame qui semble avoir quelque mal à faire avancer comme elle le voudrait son équidé têtu, entame un dialogue avec nos équipiers marocains dont nous autres, pauvres "roumis", ne comprenons un traître mot. Mais, on vient à notre secours : la dame, de retour vers son chez elle, nous invite à venir prendre un thé. Poliment, nous déclinons l'invitation : l'heure tourne et nous ne sommes pas d'ici...

Au retour, nous nous arrêtons à "Rungis" sur notre chemin. Achats de beaux légumes... et nous voilà bientôt à El Jadida...

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