26/01 - le golf
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26/01 - marche sportive au golf Pullman
26/01 - marche sportive
au golf Pullman
Dire que Jean-Pierre, après avoir assuré une longue intermittence non prévue, n'était pas heureux de passer au chef de retour son bâton de maréchal est un doux euphémisme.
Un matin ensoleillé, comme seule El Jadida a le secret, accueille les cinq marcheurs du jour et les embrassades virtuelles sont là pour fêter "le retour du jedi". On se dit les nouvelles des uns et des autres, le coach enfin à la tête de ses troupes un peu décimées, il faut bien l'avouer, conte son aventure méditerranéenne : un ferry fou subissant les affres d'une mer déchaînée à croire que le rafiot allait se briser, une nuit blanche avant une arrivée à Nador où il lui fallut une bonne heure pour retrouver son véhicule dans l'immensité du garage du ferry aidé par la bonne volonté de Marocains serviables, émus par sa détresse... Une ruée vers El Jadida à 707 kilomètres et des embouteillages à l'entrée de Rabat puis aux péages autoroutiers... Voilà conté en quelques lignes le retour attendu.
L'envie de commencer le parcours par la plage fait que le groupe, sur ordre du chef retrouvé, se dirige sur la belle plage de Haouzia, à cette heure seulement fréquentée par quelques cavaliers et envahie par les goélands dont notre approche dérange la quiétude.
D'entrée de jeu, un rythme soutenu est imprimé par Alain, sûrement désireux de montrer à tous qu'il est bien là ! Mais Driss et Zéroual ne s'en laissent pas conter et Jean-Pierre, doucement, prend une cadence régulière mais terriblement efficace. Bachir, lui, connaît ses limites et surtout sait que "rien ne sert de courir, il faut partir à temps".
À la sortie de la plage, Alain montre des signes évidents de fatigue, les jambes subitement coupées par une plage labourée par les chevaux galopants, un sable mou qui fait terriblement mal aux mollets.
En bons serviteurs, Jean-Pierre et Bachir l'accompagnent pour le retour vers la case départ. Le dos du "galopeur" donne des signes évidents de fatigue. Heureusement, Bachir a du métier et fait arrêter par deux fois le supplicié afin de lui prescrire des exercices soulageants : par deux fois, il ordonne à son chef un exercice consistant à faire "la prière musulmane"... Efficace !
Nous rentrons à un rythme modeste : Alain a présumé de ses forces et l'entretien physique en France n'a pas été à la hauteur...
Un matin ensoleillé, comme seule El Jadida a le secret, accueille les cinq marcheurs du jour et les embrassades virtuelles sont là pour fêter "le retour du jedi". On se dit les nouvelles des uns et des autres, le coach enfin à la tête de ses troupes un peu décimées, il faut bien l'avouer, conte son aventure méditerranéenne : un ferry fou subissant les affres d'une mer déchaînée à croire que le rafiot allait se briser, une nuit blanche avant une arrivée à Nador où il lui fallut une bonne heure pour retrouver son véhicule dans l'immensité du garage du ferry aidé par la bonne volonté de Marocains serviables, émus par sa détresse... Une ruée vers El Jadida à 707 kilomètres et des embouteillages à l'entrée de Rabat puis aux péages autoroutiers... Voilà conté en quelques lignes le retour attendu.
L'envie de commencer le parcours par la plage fait que le groupe, sur ordre du chef retrouvé, se dirige sur la belle plage de Haouzia, à cette heure seulement fréquentée par quelques cavaliers et envahie par les goélands dont notre approche dérange la quiétude.
D'entrée de jeu, un rythme soutenu est imprimé par Alain, sûrement désireux de montrer à tous qu'il est bien là ! Mais Driss et Zéroual ne s'en laissent pas conter et Jean-Pierre, doucement, prend une cadence régulière mais terriblement efficace. Bachir, lui, connaît ses limites et surtout sait que "rien ne sert de courir, il faut partir à temps".
À la sortie de la plage, Alain montre des signes évidents de fatigue, les jambes subitement coupées par une plage labourée par les chevaux galopants, un sable mou qui fait terriblement mal aux mollets.
En bons serviteurs, Jean-Pierre et Bachir l'accompagnent pour le retour vers la case départ. Le dos du "galopeur" donne des signes évidents de fatigue. Heureusement, Bachir a du métier et fait arrêter par deux fois le supplicié afin de lui prescrire des exercices soulageants : par deux fois, il ordonne à son chef un exercice consistant à faire "la prière musulmane"... Efficace !
Nous rentrons à un rythme modeste : Alain a présumé de ses forces et l'entretien physique en France n'a pas été à la hauteur...
DEGANS Alain- Messages : 1571
Date d'inscription : 13/04/2012
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