14/04 - marche sportive au golf Pullman

Devant ma feuille blanche... le trou noir ! "L'écrivain" a, parfois, une inspiration limitée. Aujourd'hui, c'est le vide complet : que vais-je raconter à mes lecteurs ? Vais-je encore parler de "la pluie et du beau temps" ? Des fleurs et de la verdure si présentes dans les champs environnants ?

Tenant compte de mon vide cérébral, je vais donc limiter mes propos au "rapport" strictement administratif :

A l'heure dite, 17 marcheurs se sont retrouvés sur le parking du golf Pullman. José décréta avec l'oeil de l'expérience, que nous limiterions notre circuit à la forêt d'eucalyptus, l'océan envahissant la plage de sa marée haute. Quelques instants groupés, les marcheurs, comme à l'accoutumée, se divisèrent en deux "bataillons" inégaux, José et Alain prenant la tête d'une unité de sept, Mimi et Pierre des dix de l'arrière. Deux circuits dans un sens opposé... ce qui devait arriver, arriva naturellement : nous nous croisâmes !

La langue "bien pendue" de Joëlle cessa tout à coup. Un silence se fit entendre dans la troupe : que se passait-il, donc ? Nous comprimes l'anxiété de notre collègue que partageait Martine (non pas celle de La Ciottat, mais Martine du Tarn). Devant nous, un obstacle de taille barrait le chemin : un arbre abattu, par qui ? pourquoi ? Un exercice supplémentaire. José contourna la difficulté, ce qui nous a paru normal et médicalement sage. Bruno et Alain, en ancien gymnastes, se rappelèrent l'exercice du cheval d'arçon et se tirèrent de cette mauvaise posture avec panache. Quant à Pascale, la légèreté de la danseuse-étoile se fit jour : elle passa l'obstacle avec une telle aisance que le photographe, arguant d'un incident technique, demanda à l'actrice de rejouer la scène. Le "public" était ravi et en redemandait...

Enfin, tout ça pour conclure sur une note : à l'arrivée, le compteur indiquait 9 km en 1 h 45...