25/11 - les 25 kilométres

"Il pleut sur..." El Jadida... Le temps, décidément n'est pas très clément en ce moment. mais nous avons déjà reporté la fameuse journée de marche sportive dite "... des 25 km". Nous ne pouvions donc pas encore remettre ça. C'est donc, munis de nos Kways que nous avons pris le départ pour "l'aventure". Bien nous en a pris car le soleil daigna pointé le bout de son nez et, petit à petit, au fur et à mesure de la montée en température, nous assistâmes à une série de strip-tease : oh, rassurez-vous, cela n'est allé que jusqu'au tee shirt... rien d'indécent donc !

La première boucle nous mena de la grille d'entrée du Mazagan, côté "route côtière" vers l'hôtel Pullman en empruntant la forêt d'eucalyptus avec retour par la route côtière (le temps ne se présentant pas encore sous les meilleurs hospices pour une marche sur la plage). Un petit tour à travers le complexe de Mazagan et enfin, halte pour le repas joyeux de midi après un parcours de 11 km 700 en 2 h 10. Le repas fut le bienvenu et les 6 derniers marcheurs, ceux qui allaient finir "le travail", étaient "d'attaque" au moment du départ pour la deuxième boucle. Pas question de contrôle anti-dopage : pas d'EPO dans les urines... peut-être un peu de "liqueur" bacchusienne mais rien d'interdit par la réglementation de la fédération internationale de marche !

A nouveau le complexe de Mazagan par la plage... nous "fonçons" droit sur Haouzia que nous dépassons et atteignons l'estuaire de l'Oum Rbia où trône toujours le bateau échoué après 7 km... retour sur Haouzia que nous dépassons par l'ancienne route, longeons la clôture du complexe de Mazagan, entrons dans le complexe où nous avons à peine le temps d'admirer les belles villas et le super golf... C'est déjà le final... les voitures sont là... 15 km cet après midi couverts en 2 h 50. Total de la journée : un peu fourbus, les 6 "derniers des mohicans marcheurs" ont couvert en 5 h la bagatelle de 26 km 700. Pour les puristes et les statisticiens invétérés : 5,34 km/h.

Une petite déception, mais les marcheurs que nous sommes ne sont pas rancuniers : l'absence de notre mentor José qui a préféré une bonne choucroute chez l'ami Maurice plutôt que de venir encourager ses ouailles...