29 avril 2013 - marche sportive de 20 km.

Au soir de cette belle "aventure", empreinte de convivialité, quels souvenirs garderons nous de cette marche exceptionnelle ? Le temps particulièrement clément, ni trop chaud, ni trop froid ? Le parcours concocté de main de maître par un José en super-forme ? Deux boucles presque d'égale distance, ont permis à ceux qui avaient peur de ne pas réaliser la totalité, de suivre un bon bout de chemin dans une nature toujours luxuriante... Départ à 10 h 10, par la campagne en direction d'Azemmour dont nous avons atteint rapidement l'entrée. Azemmour n'étant pas le but de notre périple, nous avons"foncé" vers l'Océan afin de remonter par la plage vers le complexe touristique de Mazagan. Les treize marcheurs ont rencontré des cavaliers (c'est classique ici), puis des pêcheurs sur la plage, constaté l'ouverture des "paillotes" sur la plage du complexe (le couvert était mis et il était déjà 11 h 55 !). "Un tour dans le complexe", en a décidé José qui nous a mené sans l'ombre d'une difficulté vers la ferme de Mazagan. Puis, les estomacs commençant à crier famine, nous avons rejoint nos véhicules où attendaient "sagement" nos paniers remplis : de quoi, étancher notre soif et calmer la rébellion de nos panses ! Le repas fut joyeux, le "Boulaouane" n'a pas perdu ses vertus revigorantes et l'appétit fut vite calmé... les gourmands toutefois ne résistèrent aucunement et sans honte d'ailleurs au gâteau de Marie-Françoise et au délicieux dessert concocté par Pascale... qui sera mise à l'amende et devra nous révéler la recette, dans un prochain numéro du "P'tit journal" !

Trois marcheurs, à l'heure où José a sonné le rappel, ont indiqué ne pas vouloir continuer avec nous ce périple... Tout de même, ils n'ont pas démérité et n'ont pas à rougir de leur performance, ayant accompli avec nous la boucle du matin : 11 km en 2 h 42.

Dire que le départ pour la deuxième partie de notre marche fut "un jeu d'enfant" est un doux euphémisme ! L'organisme, dans un premier temps, a eu quelque mal à s'adapter au rythme imposé par un José sur-dynamité... le poulet de midi, le fromage de Joëlle ou le gâteau de Marie-Françoise... Au bout d'un instant, Marie-Pierre, Mimi et Pierre ont dit "stop", et continué à "leur rythme". Nous ne les avons pas revus mais à notre retour, un "petit papillon" que j'ai cru un instant une oeuvre de quelque "pervenche", ornait le pare-brise de mon véhicule annonçant triomphalement la performance de nos trois amis qui avaient "engrangé" 7 km supplémentaires dans l'après-midi.

Notre groupe, réduit à sept membres, a alors mené une course folle à travers la campagne doukkalie. Pascale, malgré un talon de pied récalcitrant, montra un courage glorieux et finit la boucle de l'après-midi couverte en 1 h 57 pour 9 km 720...